Dear Michael,
Thank you for your last e-mail with the article about hybrids
Human-Neanderthal.
I read this very interesting article.
In this there are, in my opinion, two mistakes :
The first is the location : the region
"Alsace-Lorraine" is not in the
The second is the word "usual" in the sentence
: "The men spoke with an usual accent and he could not understand
some of them at all".
I think he wanted to tell "unusual".
Despite this, the description of men and women is very interesting. The
"barrel-chested" men are like the chest of almastys.
My own origins come from this region (by my father). It is possible I
have more neanderthal genes than normal people!
I made a translation in French of this article
to better understand it for me (see below).
See you soon,
Philippe
Source: http://voices.yahoo.com/the-valley-neanderthal-people-8760315.html?cat=37
Le récit provient
d’un compte-rendu verbal du grand-père
de David A. Claerr, qu’il a
recueilli et retranscrit. Posté le 19 juillet 2011.
La vallée du peuple
néanderthalien
par
David A. Claerr
Y a-t-il une preuve de l’existence d’hybrides humain-néanderthaliens ?
Mon
grand-père Lucien Camille Clear est né
au milieu des années 1800, en Alsace-Lorraine,
dans une partie des Alpes à la frontière de
Lucien
appris l’alpinisme très jeune et lorsqu’il devint
un jeune adulte il explora les Alpes durant les mois d’été. Avec un sac de couchage et un sac
à dos, il voyagea, escaladant les sommets et
visitant les villages lointains. Souvent
il offrit
de travailler en échange
du gîte et du couvert,
ou pour une petite somme d’argent.
Il me raconta
l’histoire d’une aventure qu’il lui advînt près de la frontière
de
La
première chose qu’il observa
et que la structure des maisons était différente. Les maisons au
toit de chaume et les granges avaient pour soutient des troncs bruts avec quelques grosses
branches laissées sur
le tronc, formant des arches qui supportaient
les poutres.
Les
hommes du village étaient
tous baraqués et leur poitrine
était en tonneau, leurs cheveux touffus,
leur traits grossiers, avec
d’énormes barbes. Ils portaient
des culottes de cuir et des chemises de bure (grosse étoffe
de laine brune). Les femmes
se tenaient à l’intérieur
et il n’en
vit aucune les premiers jours.
Les
hommes parlaient avec un accent inhabituel et il ne put comprendre certains d’entre eux, bien qu’ils
parlaient le français
et l’allemand couramment. Mais il
put se lier d’amitié
avec l’un d’eux, qui parlait alternativement les deux langues. Il
lui offrit le gîte et le couvert dans sa grange, en échange d’une aide
à la construction d’une écluse
d’irrigation, construite
à partir de demi-troncs
évidés. Mon grand-père
était doué
à la hache et
après une semaine de
dur labeur, l’homme l’a complimenté
pour son travail habile, et l’a invité
à dinner ce qui signifie
qu’il allait lui présenter sa fille. Ledit
soir, il
allèrent chez lui.
Quand le dinner fut
servi, la fille sorti de la cuisine portant un plateau de nourriture. Lucien fut choqué de voir que ses bras “nus” étaient entièrement
couverts des mêmes poils épais et laineux que son père et les autres hommes avaient sur les leurs, et il lui sembla
voir des favoris sous ses longs cheveux hirsutes. Lorsqu’elle se pencha pour poser
le plateau, il s’aperçut qu’elle avait plus de poils sur la poitrine qu’il ne le pensait. Il en fut tellement
troublé qu’il eut du mal à avaler sa nourriture.
Après le repas, le père
se retira dans le porche pour fumer la pipe. L’hôte de Lucien l’invita
à dormir dans sa maison
cette nuit. Lucien accepta, mais resta
couché et éveillé la moitié
de la nuit, tournant et se retournant. Il se souvînt des histoires qu’il avait entendues
concernant des coutumes rurales qui demandent à un
homme de s’engager à
épouser la fille de
la maison dans laquelle il a passé une nuit. Dans
une crise, il se leva
finalement et quitta la maison le plus silencieusement
possible. Il alla à la grange et emballa rapidement
ses affaires personnelles. Heureusement la nuit était éclairée
par la pleine lune, donc il marcha rapidement à travers la vallée, se déplaçant sur plusieurs kilomètres avant de s’arrêter un
moment pour une sieste.
J’’ai lu récemment le succès du séquençage
du génome de l’homme
de Néanderthal. La conséquence
en est que
l’on a pu identifier des séquences typique d’ADN néanderthalien dans un pourcentage de l’ADN des européens modernes. Je me souviens de l’histoire de mon
grand-père, que j’avais toujours perçu comme un conte étrange et amusant. Mais la description de ce peuple
d’un village lointain pourrait
très bien parler d’une population isolée d’hybrides humain-néanderthaliens qui n’auraient
eu que de rares contacts avec le monde extérieur
avant le 20èmesiècle. Depuis que des chercheurs en génétique
sont en train de prélever
des échantilllons de gènes
provenant de régions
géographiques distinctes,
je pourrais suggérer
que cette région soit une cible poissible
pour recueillir des données
comparatives sur les contact interspécifiques
entre l’homme de Néanderthal
et l’homme moderne.